20 déc. 2015
Le dessinateur NONO dédicacera ses trois livres parus aux éditions Dialogues :
Je te dessine, Liberté
Nécessité sociale, politique, citoyenne, le dessin de presse dérange les intégrismes de tous bords. Dans Je te dessine, Liberté, Nono, dessinateur, caricaturiste irrévérencieux et talentueux du Télégramme, nous propose de revivre avec lui l’année 2015. Son regard est tendre mais son trait piquant. Il rend hommage à ses amis disparus, ses parrains, sans qui il se sent orphelin. Ceux pour qui il continuera de dessiner, en caricaturiste. 2015, une fois encore, nous a offert son lot de folie, d’absurdité, de drame, de poésie. Avec humour et espièglerie, Nono en a chatouillé l’actualité et ceux qui la font. Composé de dessins publiés dans Le Télégramme, Le Peuple breton, sur Paris Breizh Media, d’inédits, de refusés, d’impubliables, Je te dessine, Liberté nous offre le meilleur de Nono en 2015.
Canard à l’Armoricaine
NONO retrouve ici son complice René Pérez avec qui il a cosigné, dans Le Télégramme, quelques dossiers débordant de drôlerie sur la Bretagne et les Bretons.
Pendant près de quatre décennies, René Perez a été une plume du Télégramme et un observateur attentif de la vie politique bretonne. Mais ici, il change de registre pour nous faire pénétrer dans les coulisses de la presse re´gionale bretonne qui figure parmi les meilleures de France. De l’imprimerie au plomb qu’il a brièvement connue au tsunami internet qui vient tout bouleverser, il nous entraîne dans une balade amoureuse de son métier et de cette concurrence quotidienne et stimulante qui, sur le terrain, oppose les équipes de Ouest-France et du Télégramme alors que les situations de monopole de presse régionale se multiplient dans l’Hexagone. Fidèle à son style jubilatoire, René Perez nous livre de nombreuses anecdotes cocasses dans le sillage de Nicolas Sarkozy, François Hollande, Olivier de Kersauson, Sylvester Stallone et bien d’autres.
Une mer de famille
Ce livre écrit par Gilles Martin-Chauffier dans la collection « Petite carrée » permet d’apprécier Nono l’aquarelliste
« On dirait que les vagues lèchent les îles comme de longues lèvres blanches et douces. Aussi pâle qu’une mousse ensoleillée, leur écume ressemble à la sueur des amoureux. A l’aube, au soleil levant, sous la caresse de la brise, l’eau ondule et scintille comme une flaque de mercure. L’été, il ne fait pas trop chaud. L’hiver, le froid n’est pas chez lui et ne s’installe pas. Au fond, on n’a que deux saisons : un merveilleux printemps et un long automne tout en douceur. »